dimanche 21 octobre 2012

La dictature de dictionnaire: Le chaos du monde causé par de simples pronoms singuliers…



Bonjour à tous,

L'amour ne s'apprend pas, il est là en chacun de nous.
Au fur et à mesure que nous grandissons, nous l’abandonnons …
- Notre éducation, notre instruction, … nous apprend à devenir de simples pronoms singuliers
(Je tu il ou elle).
Phonétiquement, j’entends : je, tu, il (elle) mais je peux entendre : je tue il (elle) généralement !
(Synonyme de généralement : je vous le donne en mille … Singulièrement !)

Si j’utilise le synonyme généralement, il suffit d’écouter les infos où, le pronom « tu » s’est tu pour laisser place au verbe !
Combien de fois répétez-vous et entendez-vous ces pronoms durant votre journée ?
Comment ne pas être conditionnés ?
L’utilisation de ces pronoms engendre l’utilisation des pronoms possessifs …

Combien de fois avez-vous répété ces pronoms Ma femme, Mon mari, Ton amis … ces mots deviennent Mon maton !
Le "manque affectif "s’installe dans nos vies.
C’est réduire « l’autre » que nous apprenons en utilisant des « pronoms possessifs » (ma femme, mon mari, mes enfants etc.…) Discrètement, insidieusement la maladie du manque affectif s’installe en nous…
De là nous construisons notre monde en recherche continuelle toujours insatisfaite d'être aimé par l'autre. Cette confusion est crée par le capitalisme
Notre société est basée sur la séduction, plaire à n'importe quel prix !
Et ce, sur tous les plans !
Nous en faisons l'expérience tout le temps.

Une bonne santé mentale, c'est peut être aller voir la direction opposée que propose notre monde malade et qui a tant besoin d'être soigné.
Ce monde à besoin de chacun d'entre nous, nous avons tant à donner !
En reconnaissant notre erreur de départ à savoir l’utilisation aveugle de pronoms possessifs associé au manque affectif collectif.
Notre propre manque disparait parce qu'a-à notre propre regard se joint la conscience la plus élevée et nous retrouvons ainsi L'AMOUR qui est en NOUS.

Catherine Kayser